
Samedi 12 Janvier 2019, Trail Vauban à Gravelines : Le bal des déboutants
Il y avait boucoup de monde, hier, à Gravelines pour le Trail nocturne Vauban.
Pour les boute-en-train que nous sommes, il s’agissait de renouveler une expérience connue et maîtrisée, ou, au contraire, de découvrir une autre façon de courir.
Nous étions donc deux groupes : les plus courageux, inscrits sur le 19 km, Micka, Anthony, David D, Eric, Louis, Hugues, Bruno G et Emilie ; et les autres, inscrits sur le 10, deux habituées Elise et Mathilde,et les déboutants : Bénédicte, Hélène V, François, Annie et votre rédactrice.
Je vais m’attarder un peu sur les sensations du premier parcours puisque je peux à présent me vanter de l’avoir fait !
Nous voilà donc, tout boudinés dans notre tenue spéciale sortie nocturne, avec nos baskets bien propres (mais pas pour très longtemps), prêts à nous élancer sur le boulevard du départ.
Pas de boussole en main, mais nos frontales, plus au moins efficaces, et une petite boule au ventre…
Première impression : c’est beau ! Les trailers s’élancent dans le noir, et on ne voit qu’une longue file de lumières, un peu comme une procession de bougies. Très vite, on entend des rires et des indications importantes : « souches », « racines », « cailloux »…Autant d’informations qui témoignent du fait qu’il s’agit avant tout d’une aventure collective. Cela en serait presque bouleversant, s’il ne fallait pas rester concentré sur le parcours pour ne pas glisser.
Soudain : un premier bouchon. Le groupe est à l’arrêt. Et puis, on comprend pourquoi. Face à nous : un véritable bourbier, ça glisse…mais pas qu’un peu ! On se raccroche aux branches, on évite de s’agripper au voisin d’à côté, on marche en essayant de ne pas y laisser une basket.
En parlant de nos chaussures, comme le dirait Annie, nous voilà alourdis par des semelles qui ont doublé de volumes et qui s’apparentent à des haltères.
On s’appelle dans le noir, on rassemble nos troupes, et on redémarre.
Arrive alors une série de montées que l’on descend debout ou sur les fesses, et de petits passages entre les arbres ou les fortifications.
On dirait un peu une séance de fractionné parce que l’effort est irrégulier. Enfin, retour sur le bitume et arrivée dans la salle de Sportica, le sourire aux lèvres : HEU-REUX !
Un mot pour résumer la soirée, vous l’aurez deviné : de la boue, de la boue, de la boue !
Laurence,
J’adore ce sport parce qu’il se renouvelle sans cesse…
PS : merci à mes copains de covoiturage qui m’ont aidé à préparer mon article, et mes mots en « boue »…
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